Il l'emporta - il la transporta loin, vers un endroit ou elle n'aurait jamais pu aller sans lui- mais, lorsque ce fut fini, le retour ne l'effraya pas. Leo semblait solide. Enracine. Vrai. Ils resterent assis dans l'herbe un long moment. Il avait le dos appuye contre le tronc d'un arbre et un bras autour de Charlotte, qui avait pose la joue contre son torse. Ce torse etait doux, muscle et sentait Leo. Gagnee par une grande paix interieure, elle aurait pu rester la pour toujours.